pour la petite histoire
Parler de l’enfance de Lucrèce serait peut être trop long, et surement inintéressant pour beaucoup de monde. Pourquoi les personnes voulant la suprématie des sorciers devaient obligatoirement être des enfants maltraités, ou bien des sorciers suivant la doctrine de leurs parents ? On peut vivre dans une famille ouverte d’esprit, aimant les moldus à l’instar des Weasley, et pourtant avoir des envies de reconnaissance. C’est un peu le cas de Lucrèce qui avait toujours eu ce qu’elle voulait, des études qu’elle avait choisi, jusqu’à devenir médicomage comme elle l’avait voulu. Les gens n’aiment pas que l’on soit différents d’eux, et pourtant c’est ce qui faisait la beauté du monde aux yeux de Lucrèce, le fait que personne ne soit identique à un autre, et très vite elle en eut la preuve. Un jeune homme à peine plus jeune qu’elle alors qu’elle commençait à peine son nouvel emploi, attira son attention.

Ce n’était pas un collègue de travail, mais bel et bien un patient, et pourtant alors qu’ils n’avaient pas la même blouse, pas les mêmes libertés, Lucrèce fut immédiatement sous le charme amical de ce garçon. Elle buvait ses paroles, ne pouvant qu’être d’accord avec ce qu’il avançait. Si une guerre éclatait et qu’il ne restait qu’un camp, alors ce devait être les sorciers. Les moldus ne les avaient jamais comprit, ils avaient sans cesse jalousé leurs pouvoirs, ils n’avaient eu de cesse de vouloir les mener à l’extinction. En parallèle, alors que l’histoire d’amitié avec Augustus pouvait parfois se transformer en quelque chose de plus passionnel, Lucrèce rencontra Bartémius Black. Alors qu’il n’était pas encore Directeur de la Sécurité du Macusa, il avait été blessé, et elle avait prit soin de lui, remarquant une étrange marque sur son bras. En discutant, il lui parla de Grindelwald, et très vite, Lucrèce apprécia ce mouvement.

Elle en parla ensuite avec Augustus, et les deux jeunes sorciers entrèrent dans les rangs de la nouvelle armée reformée par Bartémius Black. La jeune femme aida le patient à quitter l’Hôpital Charity Wilkinson, lui offrant un traitement qui lui permettait de se calmer. En parallèle, la jeune demoiselle rencontra Clarke Croupton, médicomage anglaise, avec qui elle commença une relation régulière.