La folie vous guette mes amis, par deux petits trous dans le mur de votre chambre, épiant tous vos faits et gestes. Oui, Augustus aimait tellement faire trembler l’ensemble de ses voisins, surtout lorsqu’il s’agissait des petites filles, et cela dès son plus jeune âge. Il faisait peur à tous ses voisins, et à cause de lui, toute sa famille fut obligé de déménager tous les deux ans voir toutes les années. Déjà petit, Augustus était instable, il tenta même de noyer sa mère un jour lorsqu’elle prenait son bain, seulement parce qu’elle n’avait pas de pouvoirs magiques comme lui. Alors, très vite la décision fut prise de l’envoyer à l’Hopital, contrôler son état psychologique, s’assurer qu’il puisse avoir un traitement qui l’empêche de nuire à la population. Les parents Alderton déménagèrent une nouvelle fois, arrivant dans une nouvelle petite ville, faisant croire qu’ils avaient perdu leur fils qui était à présent interné à l’Hopital Charity Wilkinson. Tous les soirs, ils se rendaient au chevet de leur enfant, et la mère d’Augustus lui chantait la seule chanson qui parvenait à le calmer.

De ses quinze ans à ses dix sept ans, Augustus fut enfermé dans l’Hopital, suivant son cursus scolaire par correspondance, sans véritable lien vers le monde extérieur  que ses parents et la médicomage Lucrèce McBraith (Scénario dans cette catégorie) de quelques années son ainée. Une grande amitié s’installa entre eux, avec un peu plus de temps en temps alors qu’il était encore patient dans le service, et ce fut cette jeune femme qui l’aida à passer ses examens afin de devenir banquier. Un traitement avait été trouvé, et lorsque ses crises de démences commençaient, il pouvait facilement se calmer. Malgré sa folie, Augustus était un jeune homme intelligent et remplit de ressources, et Lucrèce avait réussi à voir en lui tout le potentiel qu’il représentait.

Ce fut la jeune femme qui lui parla de Bartémius Black et de son envie de reformer le monde, d’affirmer aux yeux de tous, la suprématie de la magie. Augustus avait toujours adhéré à cette philosophie de vie mais il savait que ses parents seraient contre. Alors un soir, tandis qu’il était invité chez ses parents, le jeune homme ne prit pas son traitement. Le lendemain, on retrouva ses deux parents morts, d’étranges cicatrices sur l’ensemble du corps, les Reliques de la Mort fièrement inscrites sur les murs.

Travaillant dans la Banque des Sorciers Américains, Augustus a une place de choix dans l’organisation de l’Armée de Grindelwald. Il est u proche de Lucrèce McBraith, mais aussi de Bartémius Black, et son comportement inquiète Silvanus Rosier. Il fait beaucoup rire Pyrites Rowle.

Ancien élève de la maison de Poufsouffle, Silvanus a terminé ses études de Poudlard avec d’excellentes notes d’Aspic, avant de se diriger vers un doctorat d’Histoire de la Magie. Certains pensent que les cours du professeur Binns ne sont qu’une perte de temps, mais pour ceux qui savent écouter, ceux qui savent déceler les informations importantes, les petits détails peuvent avoir de grandes conséquences. Tout un programme durant la quatrième année qui parlait de la doctrine dangereuse de Gellert Grindelwald. Voilà l’une des facettes de leur histoire qui l’avait tant intéressé.

Après sa sortie de Poudlard, le jeune Silvanus avait bénéficié du soutien sans faille de ses parents, aussi bien financier que le reste, pour parcourir le monde entier. Ses premiers pas l’avaient emmené dans le sud de la France, où il passa presque une décennie pour s’inspirer de la culture latine des pays européens, allant rapidement grâce à son pied à terre en Espagne, au Portugal, mais aussi en Italie. Puis, il fit quelques voyages dans les pays africains, découvrant là une civilisation des plus intéressantes, qui ne maniait pas la magie avec les baguettes, apprenant là, qu’il s’agissait d’une invention des occidentaux.

Silvanus avait eu la chance de parcourir le monde, revenant chaque fois dans son nouveau domaine en Autriche, avec de nouvelles trouvailles, des informations intéressantes. Il est un homme passionné de ce qu’il fait, sa bibliothèque compte autant d’ouvrages que celle de Poudlard, et de nombreuses notes trainent sur son bureau. Mais, devant tant de trouvailles et de succès, il fut vite repéré il y a maintenant quatre ans de cela par Pyrites Rowle alors en fuite, qui lui demanda quelques informations.

C’est avec l’aide de Silvanus que l’ancien bras droit de Voldemort parvint à reformer l’armée des mangemorts, lui promettant qu’il trouverait un protecteur au vieil homme. Un protecteur ? Pourquoi donc ? Lui, ne voulait qu’étudier ce qui rendait le sorcier différent du moldu, comprendre pourquoi certains étaient dénués de pouvoirs. Un soir, alors qu’il travaillait dans son manoir autrichien, il reçu la visite de Bartémius Black, qui le convint de rejoindre les rangs de l’Armée de Grindelwald.

D’origine africaine, la jeune femme n’était pas le moins du monde prédestinée à devenir une fabricante de baguette. Il faut dire que dans l’école de magie africaine, les jeunes élèves n’apprennent pas à user de la magie avec une baguette, mais bel et bien avec leur main. Il leur faut maitriser cet art, tout comme celui si noble des animagus. Effectuant toute son enfance en Namibie, Léna eut la chance de grandir au sein d’une tribu des plus sociables et des plus aimantes. A l’âge de vingt deux ans, alors qu’elle vivait paisiblement dans son village, ce dernier fut attaqué par un groupe de moldu venu prendre leurs terres, voulant affirmer qu’ils étaient les plus forts, sans pour autant savoir qu’il s’agissait là d’un village de sorciers. Ce jour là, Léna put voir la haine qu’inspirait la magie à ceux qui ne la connaissent pas, la peur de la voir prendre le dessus, la crainte de se soumettre alors qu’ils étaient eux même venu dans ce but là. Ce serait mentir que d’annoncer que Léna n’a pas eu un sourire en coin en voyant la mort les emporter, avant de chercher quels groupes de sorciers avaient eu les mêmes soucis que le sien.

Ce fut des échanges avec un historien du nom de Silvanus Rosier qui la mena à s’intéresser à la doctrine de Gellert Grindelwald. Léna étudia les écrits, cherchant à savoir ce qui était bien ou mal dans sa manière de présenter les choses, profitant de la gentillesse de Rosier pour lui poser toutes les questions qu’elle se posait, devenant petit à petit de plus en plus conquise par cette doctrine. Léna se rapprocha également des anciens chamans de son village, leur demandant le recul qu’ils avaient sur cet homme que certains avaient connu, et tout ce qu’ils pouvaient dire ne faisait que confirmer ses envies d’en apprendre encore plus.

Léna ne quitta l’Afrique que trois ans avant le début des évènements de base du forum, alors qu’il se murmurait qu’un homme était parvenu a reformer l’élite de Grindelwald, reprenant les anciennes familles qui lui avaient fait serment d’allégeance, recrutant également de jeunes sorciers qui voulaient seulement faire leur place dans le monde de tous les jours. Très vite, elle fit la rencontre de Bartémius Black, nouveau leader de ce mouvement.

Lorsque Bartémius Black lança un appel aux anciens généraux de Gellert Grindelwald, Blake fut surprise. Jamais ses parents ne lui avaient parlé de l’appartenance de sa famille à la doctrine de Grindelwald. Jamais, on ne mentionna les états de guerre de son grand père dans le clan de Grindelwald alors qu’elle était présente, tel un secret bien gardé que personne ne voulait laisser sortir. Alors, imaginez un peu sa surprise en voyant devant elle, un miroir collé au mur du manoir Picquery lancer à toute la famille qu’ils étaient attendus. Son père était devenu blême, il avait regardé son épouse avec incompréhension, bégayant, et c’est Blake qui s’était avancée la première en direction du miroir, touchant ce dernier et passant à travers. La Magie est puissance, et elle le démontrait à ce moment là, alors qu’elle arrivait dans une grande salle blanche où quelques sorciers se trouvaient déjà là, Blake vit ses parents arriver derrière elle, suivi d’une multitude d’autres.

Au centre de la salle, visible de tous dans cette salle semblable à un amphithéâtre, Blake écouta un homme du nom de Bartémius Black parler de la doctrine de Grindelwald, annonçant qu’il avait avancé dans les recherches de celui qui fut pour une majorité des sorciers un mentor et une perte terrible lors de sa défaite contre Dumbledore. Oui, elle voyait à travers la salle les visages montrer qu’ils étaient d’accord avec les paroles de Black, et elle-même sentait naitre en elle une ferveur retrouvée, comme enfouie depuis des années au plus profond d’elle-même, avant qu’elle ne se mette à applaudir. Black était ensuite accompagné d’autres personnes, du célèbre chercheur Silvanus Rosier, et ils les invitaient à faire renaitre le mouvement de Grindelwald.

Vous vous doutez bien que certains dans l’assemblée qui comptait déjà plus d’une centaine de sorciers n’étaient pas d’accord, et afin de préserver le secret, les récalcitrants furent tués. A partir de ce moment là, et les Reliques de la Mort firent de plus en plus souvent leurs réapparitions. Blake avait vite été conquise par cette cause nouvelle, et depuis, elle la sert fièrement.

« Il n’est pas mon fils. Il n’est que le bâtard que j’ai élevé parce que tu n’as pas su fermer tes cuisses lorsque Gaunt est venu s’assurer de ta dévotion envers une doctrine archaïque ! Pour le plus Grand Bien … tu me fais pitié ! Tu n’es qu’une trainée ! La salope des Wilkes ! Ton frère Seneca devait bien te baiser ! »  Et le bruit incessant d’un « père » alcoolique et mal dans sa peau qui bat sa femme. Il n’était qu’un homme qui avait épousé Octavia Wilkes, lui le Sang Pur Thésée Slughorn. Comment avait elle pu lui faire ça, alors qu’il l’avait tant aimé ! Octavia Wilkes, la fille de son meilleur ami d’enfance ! Avait elle été avec lui seulement parce qu’il était bien né et parce qu’il représentait la richesse et l’opulence ? Comment cette trainée d’Octavia avait elle pu s’offrir à Perceval Gaunt, elle savait qu’il détestait celui qui avait été un frein dans son amitié avec son père pendant des années ! « Il porte bien son prénom ce petit bâtard ! Je devrais le noyer ! Je ne supporte plus votre présence ici ! »  Et Thésée continuait de battre Octavia, sans cesse il lui mettait des coups quand il ne lui lançait pas des sorts ou qu’il ne la violait pas devant Damon. La mère de ce dernier faisait toujours attention à ce qu’il soit dans une autre pièce, ou bien dans un coin afin de ne pas voir ce qui se passait, comment montrer une telle image à un enfant de même pas quatre ans ? Comment peut-il comprendre tout ceci ? Et pourtant il entendait tout, et ses cauchemars étaient hantés par le visage de cet homme qu’il ne pouvait s’empêcher d’aimer malgré tout. Thésée était son père, Damon ne comprenait pas toute cette violence.

Son arrivée à Poudlard fut particulière, Damon fut envoyé à Serpentard sous le nom de Damon Slughorn, jeune élève ambitieux et calme, réservé et agréable, loin des préjugés sur sa maison. Il préférait rester dans son coin, étudier les potions sous les recommandations de son grand oncle Horace Slughorn qui ne l’avait jamais mis de côté du fait qu’il soit un bâtard. Sa condition, il commençait à bien la comprendre, car Thésée le repoussait à chaque fois qu’il se rapprochait de lui, cherchant les conseils d’un père méprisant, souffrant du peu d’amour de ce dernier. Et malgré tout, Damon l’avait prit en modèle. C’est en cinquième année qu’il emmena sa petite amie de l’époque dans une balade amoureuse, la veille, il l’avait vu se rapprocher d’un septième année, alors en arrivant dans les cuisines de Poudlard où il lui avait fait préparer une belle table, Damon s’énerva. Il la soumit au Doloris, les yeux exorbités de rage, avant de crier aux elfes de se reculer. D’un geste de découpe, il avait fait valser les habits de cette dernière avant de la soumettre à l’Impérium. Nue, magnifique, splendide ainsi vêtue de sa plus belle robe, Damon l’observa faire. En cadeau, il lui avait apporté le septième année. La jeune demoiselle commença à le torturer, puis Damon la viola devant le regard horrifié de son concurrent, puis elle le démembra, le découpant en petit morceau. Le lendemain, les elfes de maison nourrissaient les autres élèves avec de magnifiques tourtes, tandis que la petite amie de Damon gardait le silence, consciente de sa complicité malgré le sortilège de l’Impérium.

Un silence qui durant 2 ans, car en septième année, elle ne revint pas après les vacances de Noel. La belle ne supportant plus le poids du secret avait jugé bon de se suicider. Devant tout le monde, Damon montra un visage triste, alors qu’à l’intérieur, tout ceci lui faisait ni-chaud ni-froid. Thésée venait d’envoyer Octavia à Sainte Mangouste.

A vingt deux ans, Damon entra au service des Oubliators en même temps où il passait un pacte avec Thésée : Ce dernier ne touchait plus sa mère et en contrepartie, Damon changeait de nom pour celui de Gaunt, tout en tuant son géniteur, vengeant ainsi celui qui était son réel père. Officiellement, le jeune obliator devint un bâtard aux yeux de toutes les familles, et quelques jours plus tard, le vieux Perceval Gaunt était retrouvé mort, victime d’un infarctus foudroyant, son visage montrant sa grande peur lors des faits. A partir de ce moment là, sa mère Octavia fut plus sereine, et sa relation avec Damon devint encore plus forte.

A l’âge de trente ans, soit après la chute de Voldemort, Damon devint le Responsable du Département des accidents et catastrophes magiques. Aujourd’hui encore, Thésée le prend de haut, lui préférant ses autres enfants, ne cessant de rabaisser Octavia qui a eu le malheur de lui être infidèle dans sa jeunesse. Il fut approché il y a quelques mois à présent par Silvanus Rosier afin d’intégrer les rangs de l’Armée de Grindelwald, pour le plus grand bien.

Ce fut lui qu’on mandata pour la mort de Lucy Rowle, jeune femme qui malheureusement commençait à prendre trop de place et à déranger. Il lui avait fait croire qu’il la laissait partir en toute sécurité, la laissant avec son jeune fils dans les bras, se rendant à la demeure des Dolohov pour tuer le mangemort Morgan Dolohov, violant les quatre sœurs qu’étaient Maiween, Althéa, Sofia et Opal, en laissant deux de mortes, les deux autres à l’abandon. Puis, il était retourné la nuit chez Lucy Rowle, un simple sortilège pour qu’elle ne puisse pas bouger ni crier, avant de la réveiller et de lui tailler les veines, s’allongeant à ses côtés pour la voir mourir.


Note des admins : Le personnage a été joué, donc il est possible de retrouver les sujets qui ont été fait.
Dans l'esprit de la création, il était envisagé Charles Dance - Thésée Slughorn - en père qui rejette l'enfant, Julia Roberts - Octavia Wilkes - pour la mère et Hugh Grant - Seneca Wilkes - pour l'oncle dont il est proche.

Plus jeune, Brooklynn s’est rapidement mise en retrait de toutes les personnes qui se disaient leader, elle pensait que ce rôle là n’était pas fait pour elle sans même en savoir les véritables raisons. En faite, les véritables raisons étaient bien simples : concrètement, la jeune Van Der Woodsen a toujours eu du mal à comprendre la nature humaine. Rapidement, elle s’est liée avec les animaux magiques et plus particulièrement avec une race qui a toujours inspirée la crainte : les dragons. Des êtres fascinants, bien plus intelligent même que la plupart des être humains peuplant la surface de la Terre.

Elle suivait, sans se rendre compte forcément que les décisions qui étaient prises ne lui convenaient pas, ne lui plaisaient pas. Sans se rendre compte qu’elle hochait la tête positivement alors que ce qu’elle entendait ne lui plaisait pas le moins du monde. Après tout, qui est-ce qui prendrait en compte les volontés d’une jeune adolescente ? Elle se sentait mal dans sa peau malgré tout l’amour que pouvait lui apporter ses parents. Elle prenait pour elle tous les malheurs du monde, pensant que tout ce que les autres ressentaient, elle le ressentait aussi.

Ce n’est que lorsqu’elle quitta le cursus scolaire que Brooklynn se décida à se renseigner sur ce mystérieux Grindelwald. Mystérieux … c’était un grand terme, car elle connaissait de lui les grandes lignes, mais pas les réelles motivations. Lorsqu’elle en prit connaissance, la jeune blonde ne put que lui donner raison : la nature leur avait offert les pouvoirs les plus puissants du monde, pourquoi donc son peuple ne dirigerait pas le monde ?

Une prise de position qui sembla légèrement effrayer ses parents, comment leur jeune fille si effacée pouvait-elle tout à coup mettre en avant de telles idéaux ? Alors, devant l’incompréhension de sa famille, Brooklynn quitta sa famille, se consacrant à ses premiers amours : les dragons. A côté, elle continuait de se renseigner sur Grindelwald, elle découvrait bien des informations, et lorsque Bartémius Black fit son appel … elle ne parvint pas à se contenir de l’acclamer.

Un homme d’une telle carrure, d’une telle trempe, elle en était sous le charme. Littéralement. Après quelques mois, Brooklynn reçu la visite imprévue de ses parents, et tout se passa bien mieux que ce qu’elle aurait pu l’imaginer. Ils ne voulaient pas laisser leur fille, ils ne voulaient pas ne plus la voir, et si pour cela il fallait qu’ils embrassent la doctrine de Grindelwald, alors ils le feraient !